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TOXIC FREE : UNE NOUVELLE METHODE POUR NE PLUS ATTENDRE LA MORT DE TES PROCHES POUR ÊTRE ENFIN ET VRAIMENT TOI

qu'est ce qui ne va pas chez toi?

  • Tu te demandes sans cesse ce qui ne va pas chez toi

  • Tu remets en question tes émotions et la manière dont tu les exprimes

  • Tu as de très mauvaises relations avec tes parents

  • Elles sont tellement mauvaises que tu as déjà imaginé à quel point tu te sentirais libre à leur mort

  • On t'a toujours dit que le problème c'était TOI

  • Tu ne peux te confier à PERSONNE autour de toi 

  • Quand tu as besoin de parler, tu mesures sans cesse le pour et le contre avant d'en parler à tes parents.

  • Tes amis vont tous trop mal pour que tu les embêtes avec tes histoires. 

  • Au travail, tu as d'énormes difficultés à prendre ta place et à t'exprimer.

  • Tu n'as jamais reçu de marque d'affection de la part de tes parents.

  • Ta famille est "pudique".

  • On te crie régulièrement dessus, car ta personnalité "agace" les gens.

  • Tu as honte de tes problèmes et tu ne sais plus comment les gérer.

  • Tu n'as personne à qui parler.

  • Tu te sens au pied du mur.

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Si tu t'es reconnu.e dans ces cas de figure, tu es au bon endroit. Bienvenue. Je vais t'expliquer d'où vient le problème et comment y remédier. Mais pour que tu comprennes, il faut que je te raconte une histoire.

LE CYCLE INFERNAL

Toutes les situations que tu vis actuellement, je les ai moi même vécues. J'étais invisible à l'époque. Les seules personnes qui me voyaient me criaient dessus. Je n'exprimais mes émotions que dans les pleurs et les cris. J'étais tantôt froide, tantôt incroyablement sensible. Ca m'a posé un tas de problèmes familiaux, professionnels, personnels.

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Je jouais au jeu du chat et de la souris avec mes parents. Parfois je leur parlais, parfois non. Un jour, une dispute éclatait et je fuyais. Plus je m'éloignais plus je me sentais bien. Mais plus le silence entre mes parents et moi était long et plus je culpabilisais de ne pas leur parler. Tous mes amis disaient la même chose : 

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"Les disputes familiales, tout le monde en a. Mais tu n'as qu'un père et qu'une mère. Tu devrais retourner leur parler".

​

J'y retournais, et ils me parlaient comme si de rien n'était. C'était pour me faire comprendre que le sujet était clos et que tout ça était derrière nous. Les semaines passaient... Je me sentais de plus en plus à l'aise avec mes parents... Et au moment où j'étais la plus à l'aise, une nouvelle dispute éclatait. Alors que je pensais que le sujet était clos, non seulement il revenait sur le tapis, mais en plus mes parents me reprochaient de ne pas l'avoir réglé la dernière fois en choisissant de fuir très loin, pendant très longtemps.

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Et le cycle infernal bouclait encore et encore. 

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C'était douloureux. Insensé. Inconscient. 

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Je suis donc allée voir une psy. Elle m’a donné un livre d’Alice Miller. C’est une spécialiste de la maltraitance infantile. 

 

Alors j’ai lu le livre, et puis je suis allée me renseigner sur cette spécialiste. Alice Miller a écrit un peu moins de 10 livres sur la maltraitance infantile, tous décrivant les violences ordinaires entre parents et enfants.

 

J’ai cherché, cherché, et puis je suis tombée sur plusieurs articles sur son site internet. L’un d’entre eux explique pourquoi interdire toutes les punitions corporelles faites aux enfants. Article est édifiant et hyper instructif. Il m’a ouvert les yeux sur une réalité: nous giflons nos enfants et nous trouvons ça absolument normal. 

Je n’ai moi même jamais été giflée, et ma mère m’a tapée une seule fois, la fois de trop, celle qui m’a poussée dehors. Je suis partie de chez elle suite à ses coups. Quand elle m’a demandé si je viendrais la voir de temps en temps, j’ai répondu « bien sûr ». J’ai menti. 

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Ce cycle infernal dont je te parlais plus haut a pris fin ce jour là, car je n'ai jamais revu ma mère depuis. 

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En me lisant, tu dois te dire quelque chose que je me suis aussi dit : 

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Je n'ai jamais été maltraité.e

 

Tu penses certainement que la maltraitance se résume aux coups. A la violence physique. Aux sévices physiques, sexuels. On ne t'a certainement jamais parlé des violences psychologiques. 

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Dix ans plus tard j’ai compris bien des choses sur les violences infantiles. La première c’est qu’il y a des violences corporelles qui sont acceptées par la société pour les enfants mais pas pour les adultes. Si tu gifles un enfant, c’est de l’éducation. Si tu gifles un adulte, c’est une agression, et tu peux aller en prison. 

 

La deuxième chose que j’ai apprise c’est qu’il y a des violences que tu ne vois pas, qui sont invisibles, et qui restent en toi pour le restant de tes jours si tu ne mets pas de mots dessus. Comme elles ne se voient pas et ne laissent pas de traces physiques, n’importe qui peut les contester et te traiter de menteur.euse.

 

Tes parents ont d’ailleurs longtemps contesté tes rébellions contre les maltraitances en disant que c’était toi le problème. Par exemple, c’est toi qui es susceptible quand tes parents disent du chien que c’est ton frère-ta soeur. C’est toi qui es trop fainéant.e quand tu refuses de ranger en rentrant de ta journée de taf/a l’université. Ton.ta copain.ine est trop bien pour toi, ou pas assez selon les moments. 

 

Jamais tu n’entendras d’eux qu’ils sont trop exigeants. Jamais tu ne les entendras dire qu’ils sont allés trop loin dans l’humour. Qu’ils n’auraient pas dû dire ça. Qu’ils s’excusent. 

 

Ce manque restera toute ta vie. C’est une blessure qui va s’ouvrir à chaque fois que tu verras la famille des autres. Tu envies les repas de famille où ce n’est pas TOI qui cuisine. Tu jalouses les câlins entre parents et enfants. Ca te fait mal quand tu entends « j’ai discuté avec ma mère ». Toi tu ne discutes pas avec ta famille. Tu ne parles pas avec eux. Tu ne manges pas avec eux, sauf si c’est avec le reste de la famille pour de grandes occasions. Tu ne peux pas te confier, tu ne peux pas dire que tu as des problèmes, tu ne peux pas être vulnérable. Tu sais que si tu le fais, ça sera retourné contre toi plus tard, quand tu iras mieux. 

 

Le pire, c’est que ce schéma s’est répercuté partout dans ta vie. Tu ne crois pas aux compliments parce qu’ils sonnent faux. Tu ne peux te confier qu’à des gens qui tournent tout sous couvert d’humour… Ou tu ne te confies pas du tout. Les gens autour de toi t’épuisent. Le confinement t’a fait du bien. C’est même une bénédiction de ne pas avoir à gérer les problèmes des autres et ne pas voir cette famille qui t’étouffe. 

 

Tout ça est présent. Invisible. Caché. C’est comme quelqu’un qui te regarde derrière toi. Tu le sens mais tu n’as aucun moyen de le prouver. Tu sais que c’est là… Mais personne ne te croit. Personne ne t’écoute. Personne n’a les moyens de te comprendre ou de t’entendre. La solitude est à la fois un fardeau et une bénédiction parce que seul.e tu n’a pas à gérer la douleur des autres, mais personne n’écoute la tienne non plus. 

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Ceci est une des résultantes de la maltraitance psychologique.

 

Je sais que c'est dur à croire. Tu penses peut être que j'exagère. Que tes parents sont durs, pudiques, exigeants. Qu'ils ont un sale caractère, mais qu'ils ne sont pas maltraitants. Pour finir de te convaincre, j'aimerais te poser une dernière question:

 

Est-ce que tu accepterais que quelqu'un d'autre vive ce que toi tu as vécu dans ton enfance?

 

Si la réponse est oui, tu n'es pas au bon endroit. Tu peux retourner vivre ta vie et fantasmer sur la mort de tes parents et du sentiment de liberté qui en résultera quand ça arrivera.

Si la réponse est non, bienvenue à toi, tu es au bon endroit. Tu es là où on apprend à communiquer ses émotions sans faire de mal à personne. Tu es là où on donne de l'amour sans aucune pudeur parce que c'est normal. Tu es là où quand on fait une erreur, on s'excuse. Tes parents se sont-ils déjà excusés auprès de toi? Je ne pense pas. Ici, quand on blesse, quand on fait une erreur, on s'excuse. Je peux même déjà te dire que je suis désolée que tu aies eu à vivre tout ça. 

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Aujourd'hui, je me suis remise de mon enfance désastreuse et j'ai appris à communiquer avec mes parents de manière non violente. Plus personne ne me crie dessus. Mes amis m'écoutent et m'encouragent. J'ai des relations apaisées avec le monde. J'ai un job génial où j'accompagne ceux qui sont passés par là où je suis passée. 

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J'aimerais tellement que tu comprennes ce qui t'attend. Ce sentiment incroyable que l'on ressent quand on reçoit un amour inconditionnel. Tu recevras de l'aide que personne ne te reprochera plus tard. Tu pourras dire "je t'aime" à tes amis et ils te le diront en retour. Tu seras soutenu.e, entouré.e, plus jamais JAMAIS SEUL.E. Et tu recevras ENFIN des EXCUSES pour tout ce que tu as vécu. Au tour de toi il n'y aura que du respect MUTUEL. Plus ce faux respect teinté de peur que tu DOIS à tes parents en échange de ta vie. 

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Cet environnement sain, j'ai décidé de t'apprendre à le construire dans un groupe de personnes bienveillantes. Et c’est ce qu’on va faire ensemble en 6 mois dans l’accompagnement Toxic Free : 

 

  1. Commencer à différencier ce qui est toxique de ce qui ne l’est pas. 

  2. Exprimer ses émotions en confiance sans avoir constamment peur d’avoir tort. 

  3. Se confronter à ses parents pour ENFIN crever l’abcès. 

  4. Se libérer des relations amoureuses toxiques…

  5. Puis des amitiés toxiques. 

  6. Construire un environnement sain, seul.e, puis accompagné.e. 

 

Il n’y a plus que quelques places pour entrer dans cet accompagnement. Je laisse les inscriptions ouvertes jusqu’au 30 avril à 23h59. 

 

Ca n’est pas pour toi si : 

 

  • Ta famille et tes amis sont plus importants que tout

  • Tu n’est pas prêt.e à faire face aux conflits

  • Tu ne veux pas t’investir psychologiquement et financièrement

  • Tu penses que tu peux encore tenir longtemps dans la situation actuelle

 

C’est LA SOLUTION si : 

 

  • Tu ne sais pas te reposer, et tu es même angoissé.e à l’idée de le faire.

  • Tu t'es fortement reconnu.e dans le cycle infernal que j'ai décrit plus haut

  • Tu n’as jamais osé l’avouer, tu n’as jamais réussi à aimer ta famille

  • Tu n’arrives pas à en placer une quand tu parles à tes amis

  • Tu veux ABSOLUMENT te sortir de cette situation VITE

  • Tu es prêt.e à t’investir dans un accompagnement de 6 mois

  • Tu feras face à tous les conflits qu’il faut TANT QUE LA SITUATION S’ARRETE.

 

Cet accompagnement c’est : 

 

  • Un coaching hebdomadaire pendant 3 mois

  • Un coaching bimensuel pour les 3 mois suivants

  • Des seances d’hypnose pour se recentrer sur ses émotions

  • Des modules spécifiquement dédiés à l’expression des émotions

  • Je serai disponible par message entre les séances

  • Un groupe de personnes bienveillantes sera là pour que vous puissiez discuter de vos ressentis

 

Toxic Free, c’est l’accompagnement qui va t’aider à te reconstruire. C’est ça qui va te permettre de savoir t’exprimer sans faire du mal, et recevoir enfin l’amour dont tu manques depuis si longtemps. C’est la solution qu’il te faut depuis bien trop longtemps. Arrête de souffrir, et réserve ton appel avec moi ci-dessous pour avoir toutes les infos pour entrer dans l’accompagnement qui commence le 1er mai. 

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